mardi 8 octobre 2013

Voilà ce qui arrive à nos très chers et tendres manuscrits...

Article bien renseigné : 

http://www.actualitte.com/reportages/comite-de-lecture-la-marche-du-manuscrit-vers-l-empereur-2090.htm

vendredi 4 octobre 2013

Alors c'était comment ?

Après un an, j'ai enfin fini le processus d'édition.
Je suis ravie car j'ai beaucoup appris et que les réponses furent plus positives que ce qu'on m'avait promis. Non seulement on m'a répondu mais en plus on m'a répondu de façon personnalisée et détaillée.
De mon expérience ce sont les énormes maisons qui m'ont le plus répondues proportionnellement. Je n'ai jamais été mal accueillie ou insultée, je préciserai enfin que les éditions sont plutôt bienveillantes.

 Ce que j'en ai tiré : il faut être absoluement au point sur son ouvrage. J'aurais dû me laisser du temps, le laisser un an reposer avant de l'envoyer mais une fois le roman fini on est tellement dans l'impatience qu'on oublie les vraies raisons du pourquoi on en est arrivé là. J'ai toujours voulu vivre de l'écriture mais il s'agit là d'un rêve, d'une ambition, si je vivais déjà à mon jeune âge de l'écriture, j'en serais ravie mais j'aurais une ambition en moins et dans la vie l'ambition ça coûte cher. Ce que j'ai appris avec cette aventure, c'est que je veux vivre pour écrire, et non pas écrire pour vivre, si je peux me permettre ce bon mot culucul qui n'est pas de moi.

Alors, je trouverai le temps pour écrire et l'envie. Je veux être lue, je le serais, je vais surement poster un roman jeunesse très court sur le net bientôt, j'ai des projets en tout genre, y compris des partenariat, je recommence à écrire de la chanson.

Si j'avais un conseil à donner par rapport à cette année où j'ai même été éditée (pour un poème mais c'est toujours ça), c'est peut-être d'écrire petit.
En effet, je conseille toujours à ceux qui veulent écrire de débuter par la nouvelle, peut-être qu'il vaut mieux pour tester l'édition commencer par du texte court, je pense notamment à la jeunesse où l'on peut écrire des textes d'album.
Un texte court c'est moins d'investissement,en temps et en argent et souvent en attachement donc les rejets sont moins durs à encaissser.
Bref dans l'ensemble, ce fût une belle expérience, je n'abandonne pas ce roman, loin de là, il repartira bientôt sur la table d'opération, j'écris d'autres choses, et je réfléchis à d'autres projets, je reprends la plume et c'est chouette.

dimanche 8 septembre 2013

Réponse Nathan

Chère Zogo,
Nous avons bien reçu votre manuscrit,.... et l'avons examiné avec attention. Nous vous prions de bien vouloir excuser pour cette réponse si tardive. Votre manuscrit nous a vraiment interpellé et a longuement été étudié par notre comité de lecture.
Malheureusement, il est impossible d'envisager sa publication. Votre texte possède de très belles qualités littéraires : le style est fluide, riche, élégant. L'univers est original, complexe et convainquant et le lecteur se le représente aisaiment. Vous avez aussi su varier les tonalités en introduisant de l'humour dans des passages féériques. Enfin, l'intrigue est bien construite.

Cependant, l'univers foisonnant freine parfois la plongée dans l'histoire. la psychologie de vos personnages mériterait également d'être un peu plus approfondie. Par exemple, on ne perçoit pas l'évolution psychologique chez le héros. Or, étoffer la psychologie de vos personnage permettrait au lecteur de s'y attacher plus fortement.
Nous vous encourageons vivement à préserver dans cette voie et à nous envoyer vos prochains textes.
Nous vous remercions d'avoir pensé à notre maison d'édition pour présenter votre projet et nous vous prions de croire, chère Zogo, à l'assurance de nous meilleures salutations.
le comité de lecture de Nathan jeunesse.





voilà de quoi m'encourager à... travailler encore et encore... C'était ma dernière lettre, j'ai donc finie mes démarches avec les maisons d'éditions, je me remets au taf, je travaille le tome 2, j'écris d'autres projets. Je ferais un article pour résumer mes sentiments mais pour ma part c'est positif.

lundi 8 juillet 2013

Le roi Blabla... réponse de gallimard

Un soir fatiguée, j'ai fait l'erreur d'envoyer un tapuscrit d'un conte très court à Gallimard, le conte n'était pas achevé, il était plein de fautes d'orthographe, bref, je ne sais franchement pas ce qui m'a pris... c'était il y a une semaine. Mais chose surprenante, aujourd'hui, une semaine plus tard, je reçois ceci :

"Mademoiselle,
 
Nous vous remercions vivement de nous avoir confié votre projet, 
« L'histoire du roi Blabla ».
Nous l’avons étudié avec la plus grande attention.
Malheureusement, malgré ses qualités, il ne nous a pas paru convenir à 
notre ligne éditoriale.
Nous regrettons donc de ne pouvoir en envisager la publication.
 
En vous remerciant de votre confiance et en vous souhaitant d’aboutir dans
 votre démarche, nous vous prions de croire, Mademoiselle, 
à l’assurance de nos sentiments les meilleurs.
 
Le comité de lecture."
 
 
Je n'ai jamais eu de réponse ausi rapide,étonnant de la part d'une
maison qui n'a pas répondu pour mon roman. Comme quoi quand quelque chose 
n'est pas bon..ils ne réfléchissent pas longtemps!
 
 
bonnes vacances les loulous!.

jeudi 27 juin 2013

Mon texte à moi à la radio (vive France Culture)

Un poème qui m'aurra mis une heure à écrire m'apporte plus de reconnaissance qu'un livre qui a mis deux ans... et qui finira (je vais le retravailler) par me mettre 5 ans...
Mais toutefois entendre son nom et prénom à la radio ainsi bien sûr que le titre de l'un de ses textes, ça fait un petit truc...
à 50 minutes 30 donc...


http://www.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fwww.franceculture.fr%2Femission-la-dispute-litterature-le-nom-du-fils-la-fin-d-alice-2013-06-21&h=uAQHci5SM&s=1

samedi 23 mars 2013

Instants, un bouquin chouette puisque je suis dedans.

Je suis ravie de l'expérience instart outre que je suis au salon du livre demain, ils ont fait un super boulot et leur initiative vaut le coup.
Vous pouvez lire des extraits de ces talentueux auteurs (et surtout de moi-même, personne humble) ici :
http://www.editionsrouages.fr/extrait_9.html

Et si cela vous plait, acheter le livre qui est très beau, pour plusieurs raisons, la première c'est que c'est ce livre qui finance l'année suivante et que ce concours est plutôt très bien et donne de belles opportunités aux auteurs et aux jeunes futurs éditeurs.
Pour l'acheter c'est ici:
http://librairie.immateriel.fr/fr/ebook/9782953344455/instants

samedi 16 mars 2013

Suis-je un malentendu.



J'ai assisté jeudi soir à une joute d'éloquence reprenant le procès de Charles Baudelaire. Chers lecteurs, je l’admets, c’est mon péché juridique, j’aime les concours de plaidoirie. J’en ai pratiqué dans ma jeunesse lorsque je faisais du droit et depuis j’ai plaisir au spectacle.
Pour Nathalie Sarraute, écrire c’est parler sans être interrompu. L’éloquence et la plaidoirie ont cette même vertu. Comme la littérature, il existe le plaisir de dire les mots, d’en jouer, de défendre son idée. J’ai autant de plaisir à aller voir des joute que à aller au théâtre, il me semble que c’est encore dans ces lieux que les mots ne sont pas étouffés par des écouteurs, là et bien sûr entre deux lignes blanches.
J’étais donc ravie, heureuse même d’assister au procès de Charles Baudelaire. Maître Bertrand Perrier jouait le procureur et face à lui, celui que l’on m’avait présenté comme le plus grand maître de l’éloquence de nos jours Maître Marc Bonnant. 
J’avais déjà écouté et vu plusieurs plaidoiries de Bertrand Perrier, pour ceux qui ne le connaissent pas, c’est un plaideur assez bruyant et vulgaire, dont la voix grinçante ne semble cracher que des crapauds, d’une saleté basse et maladive comme on en entend en permanence. Finalement, il n’y a rien de nouveau dans son discours. On a l’impression d’entendre un vieux pervers s’extasier sur sa propre frustration toutefois il y a du courage dans sa position et aussi un don pour faire rire la salle, quelques bons jeux de mots...  BERTRAND Perrier est drôle, et être drôle c’est difficile et essentiel. Parlons cul, voulez-vous, mais parlons-en bien : je veux dire pour le plaisir de rire de ce qui gène et excite et non de ce qui frustre et réconforte.
Bref, passons sur Perrier. Venons-en à Marc Bonnant. Comme on me l’avait vendu ! Je m’attendais à entendre quelque chose de beau, de fin, de délicat. Oh ! Je voulais de la poésie mais pas de la poésie à l’eau de rose, pas de la poésie de Baudelaire. Je voulais entendre de la poésie de notre siècle, je voulais entendre de la langue belle. On m’avait promis : tu ne comprendras pas tout et dieu que je ne voulais pas tout comprendre. Je voulais du nouveau vocabulaire, je voulais des métaphores, des tournures de phrases, de la stylistique, je voulais être éblouie.
Je désirais, j’avais besoin d’entendre du Céline, je voulais du discours insupportable mais dit avec tant de talent qu’on ne peut que s’allonger. Je voulais de la musique, quelque chose de simple et d’évident, bref, je voulais qu’on me parle littérature. Je voulais qu’on défende les fleurs du mal mais aussi qu’on les insulte, qu’on les traine dans la boue, et que finalement en quelques vers avec le ton, Baudelaire gagne.
Marc Bonnant a cette allure de grand duc : le crâne blanc, la stature fine. Au premier rang sa femme et sa fille l’admirent avec les yeux de l’amour et dans la salle déjà les petits et petites juristes s’extasient, alors je frémis. Le maître ouvre sa bouche et tout est dans le ton, les mots vont vite, les idées s’envolent, on est là, on y croit, il va nous parler poésie, il va nous parler littérature, il va nous parler humanité. Le voilà qui flatte la France, son 17ème siècle, son 19ème , pour lui l’histoire s’arrête là.  Il cite Proust pourtant mais il oublie le vingtième, siècle de la littérature, des surréalistes, des auteurs prodigieux, des poètes à déchirer les nues, des chanteurs qui usent leur plume, le vingtième le plus beau des siècles, l’aboutissement de toute les décadences, la pénitence de l’arrogance voilà notre littérature qui avant de s’essouffler fait un dernier grand saut. Voilà le vingtième bouffé dans la voix de ce monsieur et en moi, je sens que ma colère va monter.
Pitié ne me resservait pas ce discours.  Je supplie mais c’est trop tard, il est lancé, j’ai encore le droit de m’en aller. Mais mes amis l’adorent, mes amis l’idolâtrent peut-être que cet homme me dira des choses, peut-être en sortirais-je grandie.
Maître Bonnant a reçu la légion pour sa maîtrise de la langue, alors avec cette médaille autrefois militaire, je vous prie, c’est le moment de conquérir, j’attends. La maîtrise de la langue est parfaite, et la culture de l’homme remarquable. On sent ici la capacité à parler, et le plaisir surtout. Il écume comme un cheval et les mots comme les idées s’enchainent, allant de pair avec des remarques politiques et misogynes pour amuser la foule et rappeler qu’il est un homme de droite.
Allons, maître, je suis une femme de gauche, je vais forcément me vexer. Il déclame : Baudelaire est un écrivain de droite pour choquer, pour emmerder... il donne même une définition : un écrivain de droite ne croit pas à la révolution, il est fondamentalement pessimiste. Allez maître, je vous l’accorde mais pitié passez à autre chose, on s’en fout complètement du caractère politique de Baudelaire 160 ans plus tard, vous comprenez ? Les politiciens leur donne les couleurs qu’ils veulent on s’en fiche. Quand est-ce que vous me parlez de ce qui fait qu’un auteur est un géni, de ce qui fait que Baudelaire plus que d’autre doit être lu. C’est bien là la problématique de ce rassemblement.  Dîtes moi comment ce poète a trouvé la manière de « toucher le cœur des Hommes » ? Juste un vers... pitié, juste un vers de Baudelaire suffit pour faire ressentir cet argument. Un vers pour le génie, un vers pour qu’on écoute, vous savez monsieur, ces jeunes qui vous écoutent et vous admirent, ces jeunes n’entendent plus de poésie, ils ne vont pas à des lectures, ils en lisent parfois mais, ils en déclament peu. Croyez-moi, aucun d’eux n’a jamais récité du Baudelaire, réservé aux lycéens, lycéens qui ne récitent plus, alors juste un poème, un poème et vous gagnez.
Mais Marc Bonnant continue, il parle. Il parle beaucoup de lui d’ailleurs. Après tout, ce n’est pas un cours de littérature, c’est un procès. Mademoiselle, je vous pris, si vous voulez écouter un poème, demandez à vos amants de vous faire la lecture ou apprenez à lire.
Puis le maître dans tout son flot d’éloquence dit quelque chose que je relève : Auteur avec un e, ou autrice, ou autoresse bref un malentendu. Cela était bien mieux formulé et contrairement à ma voisine je n’avais pas de calepin pour prendre des notes. Bref, un malentendu. La veille, un de mes amis fan de Bonnant et certainement le plus grand auteur de ma connaissance (je n’ai que deux amis qui écrivent des choses valables et celui-là possède un génie pur, rare et provoquant) me reprochait d’employer le barbarisme auteure dans un de mes statuts facebook. Moi qui depuis petite veut être écrivainte, écrivaine. Moi qui rajoutais des « e » au mot avant même qu’on en fasse tout un plat. Moi qui déjà faisais de la littérature. Moi, je lui accordais volontiers que ce féminisme à la con me fatigue et qu’en effet, auteur sans e, car auteur est un titre voilà tout. Marc Bonnant reprend le même argument.
Bien, auteur sans e. Mais auteur avec un vagin, une paire de seins, est-ce possible ? N’est-on pas immédiatement rangé dans des auteurs sensibles, n’ayant pas le recul nécessaire, étant sur terre pour être admirée et non pour admirer. Comment pourrions-nous, femmes, écrire ? Il est vrai qu’actuellement les best sellers féminins ne servent pas mon propos, heureusement pour moi les best sellers masculins non plus.
Si j’ai la prétention de faire de la littérature, me reprochera-t-on mon utérus... Est-ce bien là que tout se passe. Ai-je la prétention d’être auteure. J’ai écris un livre pour les enfants, est-ce mon côté maternelle, finalement, est-ce mon cycle qui parle ? Pour ne pas être un malentendu, devrais-je être une femelle-entendue ? Dois-je à travers mes textes faire de la politique, défendre mon sexe, ma religion, mes opinions ? Est-ce bien ça, la littérature ?
Je m’excuse mais je ne prendrai pas le nom d’un homme pour écrire, je ne défendrai pas plus ma poitrine, je ne parlerai pas ou peu de politique, je n’écrirai pas de textes faibles dans le but de vendre, je ne serais pas un de ces génies, ni un de ces écrivains vendus. Je ne suis rien de tout ça. Je suis une femme qui aime regarder le monde et lui raconter des histoires pour le changer un peu. Je suis un être humain qui rêve de toucher avec les mots le cœur des Hommes pour qu’il trouve une consolation. J’espère y arriver un jour. Sans prétention aucune, mais par ambition car sans cette ambition on ne peut faire que de la petite littérature. Si Nathalie Sarraute dit qu’écrire c’est parler sans être interrompu, elle n’a jamais été lectrice. Écrire c’est parler en étant en permanence interrompu : par le lecteur qui ferme son bouquin pour prendre un café, par ses réactions quand il n’est pas d’accord,  qu’il pense, qu’il s’ennuie, qu’il admire, qu’il n’aime pas, qu’il proteste. Écrire est un dialogue silencieux. C’est un dialogue silencieux entre un lecteur et un écrivain mal entendu.

lundi 11 mars 2013

Moi, au salon du livre !

Vous vous souvenez du projet Instart ?
Je vous en avez parlé et je vous avez dit de foncer, et bien pour moi ça a marché, mon poème a été sélectionné, j'avais promis de le mettre sur le net une fois les résultat donné mais je ne peux plus parce que j'ai signé un contrat et puis zut! Allez l'acheter ! Je ne suis que sur la version numérique de leur livre mais ils ont fait un travail très intéressant (je ne l'ai pas encore vu ou plutôt écouté mais j'entends pas mal parlé du projet et tout ce qu'on peut dire c'est que ces jeunes gens se défoulent pour leur bouquin)

Du coup, je fais le salon du livre, si jamais vous voullez rencontrer et voir ma tête, et discuter d'édition, de livre qui ne sont aps édités, je serais heureuse de vous rencontrer en vra et d'ne discuter, rencontrer des auteurs en vrai et échanger sur nos expériences respectives c'est cool.
En plus vous pourrez voir ma tête qui ne manque pas d'être connue.

Voilà, alors qui sait rendez vous le 24 mars de 17h à 19h pour une dédicace numérique !




http://www.apres-bac-pro.comwww.salondulivreparis.com/A-la-une/Personnalites/Fiche.htm?Zoom=c047ecb689dc954866dec2c3ad346ee8

lundi 18 février 2013

Réponse Albin Michel

 Albin Michel, voilà une réponse pistonnée ! Pour le coup, je suis entrée chez Albin Michel directement par une éditrice que connaissait mon père. Au lieu d'attendre trois mois ma réponse, j'ai donc attendu six mois. De fait, il faut relativiser la qualité de mon roman et apprécier la qualité de leur réponse avec ce recul. Toutefois, comme pour L'école de Loisir (qui était sans piston) j'ai eu le droit à uen réponse constructive qui m'indique que comme je le pense depuis un moment il y a encore du pain sur la planche !


 
 
"Chère Zo Go,

Nous avons lu avec attention votre manuscrit Le titre du livre, sous titre, dont nous avons apprécié beaucoup de qualités : la psychologie du héros, bien travaillée, l'interaction entre le héros et sa sœur, intéressante et bien menée. Tout le travail de création sur le monde des songes nous a également beaucoup plu. 

Malheureusement, certains défauts de votre manuscrit nous empêchent de donner une réponse favorable pour sa publication.
En effet, alors que le premier tiers du roman est prenant, des longueurs sur l'apprentissage d'Estéban à Sverne, le passage au second plan de Léa et un manque de clarté dans la présentation du monde empêchent, ensuite, de s'immerger réellement dans l'histoire. 

En vous remerciant de vous être adressée à notre maison d'édition, nous vous prions d'accepter nos excuses pour cette réponse très tardive, et nous vous souhaitons de trouver, très bientôt, un éditeur pour votre texte.

Cordialement,"
 
Bon courage les zigotos!