dimanche 4 novembre 2012

Concours PJELF

Au cours de mon parcours d'écriture, les nouvelles ont été très formatrices, j'adore écrire. Elles ont toujours ou presque le même thème car il est vrai que pour des textes court j'aime m'entrainer sur le thème suivant : les amants impossibles.

Mais ce blog n'est pas destiné à mes écrits, (enfin si) mais plutôt comment les faire paraître.  Je ne suis pas une bête de concours, je sais être bonne, je sais faire du joli, je sais faire du bon de l'intéressant, j'ai du mal à faire du meilleur.

Le concours du prix du jeune écrivain français, a déjà 28 ans et est un concours des plus intéressant mais aussi le plus compétitif, chaque année il reçoit près de milles manuscrits. Le but est simple : écrire une nouvelle ou deux sur un thème libre en français ne dépassant pas 20 pages (time 12, interligne 1.5). Chaque année environ 1000 manuscrits sont envoyés de la sorte. Il m'arrive d'y participer :
http://www.pjef.net/

Je ne saurais trop vous conseiller d'y participer car ils vous envoient toujours des critiques qui peuvent s'avérer serviables, en plus de vous forcer à écrire des nouvelles, et à vous faire rêver un peu.

L'année dernière j'y avais donc participé pour la troisième fois, et j'ai tout naturellement perdu. J'ai perdu avec des nouvelles que je trouve excellentes, des nouvelles qui ont donc été commentées. La première( la meilleure selon moi) a reçu deux lectures, deux critiques honnêtes, avec une piste de retravail qui selon moi s'immisce beaucoup trop dans les choix de l'écrivain et qui en plus sont contradictoires mais qui au moins critiquent quelquechose...

La seconde critqiue m'a beaucoup amusé. Avant de la recevoir j'avais l'intention de la poster avec la nouvelle, car cette nouvelle est de bon niveau mais pas fondamentable et qu'en participant à ce concours, j'ai cherché à voir les nouvelles+ les corrections, je n'en ai pas trouvé sur  internet.
Ainsi pour vous puissiez appréciez la critique que vous trouverez à la fin (et qui vaut son pesant d'or) une fois n'est pas coutume : je poste la nouvelle, je poste celle-la car pour moi c'est une nouvelle réussie mais qui reste pas fondamentale (ne postez jamais un texte que vous voulez voir édité, sur un site public, sur internet rien ne disparait)


Quelque part, un homme
« Viens, on va en Chine », chuchota Emma, la voix presque absente.
Le premier des derniers matins, c’était tout ce qu’elle avait trouvé à dire. Il pencha la tête vers elle, posa sa main sous sa joue et s’appuya sur le drap. Elle avait les yeux bouffis, rouges de sommeil. Peut-être avait-elle pleuré ? Il la contempla, les yeux écarquillés, rassuré.
Il avait fait un rêve horrible et avant qu’elle ne lui parle, il n’était pas certain d’être réveillé. Le décor du songe était toujours le même : un alignement d’arbres blancs aux ombres régulières. Une lumière froide, une ville aux bâtiments toujours semblables et à l’horizon infini. Dans son cauchemar, il parlait à quelqu’un. Sa mère, son père, son frère, Emma, un ami, il n’aurait pas su dire. D’abord sa main s’effaçait dans la lumière de la ville. Il appelait son proche : « Regarde ! ». L’autre regardait et la main se dessinait à nouveau. Sa connaissance soulevait les épaules et continuait à parler mais lui n’écoutait plus. Il scrutait sa main, vérifiait à chaque instant sa présence. Et puis d’un coup, son corps avait pris les couleurs de la ville : il disparaissait complètement. L’autre continuait de parler sans le voir alors il lui criait de se retourner, de le regarder mais son proche ne le voyait plus, il rétrécissait dans l’horizon et lui ne pouvait pas le rattraper.
Puis il avait ouvert les yeux.
La voix d’Emma l’attendait, avait attendu longtemps qu’il se réveille. Tout était revenu à sa place et l’angoisse de son rêve s’évapora comme une étrangère. Il regardait les traits ronds et ridés d’Emma, se plongeant dans son regard flou et ailleurs.
« Oh oh oh ohoo little China girl! Oh oh oh ohoo little China girl! I could escape this feeling, with my China girl, chantonna-t-il avant d’ajouter : Ok, on part pour Pékin ?
Oh oui ! Beijing ! On ira voir la cité interdite, le temple du ciel et le palais d’été, et puis la muraille !
– La muraille, tu sais qu’il va falloir marcher ?
– Tu me porteras si je suis fatiguée !
– Tu pourrais faire un effort, on sera en Chine tout de même, sourit-il.
– Oui, je pourrais mais toi aussi parce que l’on sera en Chine.
– Oui, peut-être », concéda-t-il.
Il savait cela impossible. Depuis longtemps, il ne pouvait plus porter Emma. Elle était trop lourde ou lui plus assez fort : question de point de vue. Ils étaient ensemble depuis des années. Emma était beaucoup plus âgée que lui, quinze ans de plus. Elle avait grossi, vieilli. Il regarda sa chair épaisse, sa cellulite exhibée, ses rides, ses vergetures, sa peau de femme passée et repassée par les ans, sa poitrine tombante. Pour la première fois depuis longtemps toute cette chair molle et usée l’excita. Ses énormes seins trop lourds, ses massives fesses comme une montagne de gâteau dont il pouvait se délecter sans fin. Il ne ressentait plus aucun dégoût, plus aucune lassitude. Cette lassitude qui l’avait conduit à la tromper avec plus jeunes, plus bêtes, plus jolies, sans jamais oser la quitter. Ce matin, il ne ressentait plus qu’une attirance âpre, presque animale, l’envie de la dévorer. En s’approchant sous les draps, il lui dit :
« Tu pourras manger des petits chiens, des pékinois et des scarabées là-bas.
– Eurk ! Je ne mangerai que du riz et voilà ! Partons, je t’en prie ! Je t’en supplie, partons !
– Comme tu veux », répondit-il en l’embrassant.
Déjà complètement obnubilé par son désir, il attrapa son ventre et lui demanda :
« Et tu mettras quoi dans ta valise ?
– Ma petite robe noire que tu adores pour les bars de Shanghai, je serai si belle que tu ne pourras pas t’empêcher de m’embrasser, tu verras !
– Ah oui... lui dit-il en appuyant sa bouche contre son cou.
– Oui, tu voudras me baiser partout.
– Te baiser dans les rues de Beijing », murmura-t-il.
Il rêva à cette idée, tout en continuant à parcourir son cou. Il l’embrassa finalement sur la bouche. Elle était facile à embrasser, sa bouche encore pulpeuse, ouverte, ses joues écrasées, lentement, il commença à la caresser partout.
« Qu’est-ce que tu fais ?  » demanda-t-elle surprise.
Il eut envie de lui dire : « Je pars à Pékin ». Mais la phrase était trop facile, et il n’osa pas, emporté par plus que les mots. Sa réponse était évidente et nécessitait une autre utilisation de ses mains, de sa langue, de tout le reste. Il passa doucement sur elle. Emma le repoussa et se mit au-dessus. Ça le vexa. Ne le pensait-elle pas assez fort ? Après toutes ces années passées ensemble, avait-elle oublié sa fougue ? Ne l’en croyait-elle pas capable ? Était-ce à cause de... Mais déjà les cuisses épaisses l’écrasaient et il fut emprisonné dans la houle de leurs mouvements. Ses deux seins dressés plus durs. Il se sentit minuscule envahi par toute cette chair, avalé, enfoui dans un univers de plaisir, entièrement livré à elle, recouvert, succombant.
Ils n’avaient pas fait l’amour comme ça depuis au moins cinq ans. Sous ses doigts, la chair se liquéfiait. La peau lui parut bleue, déformée, d’une beauté claire. Il y voyait des navires, des équipages, il y voyait tout un monde. Il était chaud, très chaud. La fièvre l’emportait et il rit, ne sachant plus très bien ce qui était de l’ordre de l’extase ou du fantasme. Elle enfonçait ses griffes avec fougue, sans jamais le déchirer, sans le blesser, s’attachant à lui de tous ses doigts comme pour le retenir, comme pour l’empêcher de partir et lui sentait les grosses perles de sueur couler sur son front. Un vertige l’emporta. Ça s’acheva sans bien qu’il sache ce qui s’était produit. Il s’assit sur le lit. Ses pieds touchèrent le sol qui lui sembla gelé. Il dut s’appuyer sur le  matelas pour se soulever. Il avait besoin de boire, de se rafraîchir. Il enfila un caleçon qui traînait et marcha jusqu’à l’évier.
Il s’y accrocha et se rinça le visage. Il regarda sa face. Ses traits fins, aigus, que les années avaient rendus un peu plus élégants. Il était dans la force de l’âge. Un petit narcisse poussait dans ses yeux comme une grande fleur ouverte. Les tiges déjà s’emparaient du lavabo, du robinet, poussant comme du lierre et développant des racines monstrueuses. Il ouvrit l’eau froide et la végétation s’effaça sous le jet. Il était beau, c’était indéniable. Pas seulement beau, séduisant. C’est ce qui l’avait rendu si peu fidèle et si lâche. Il sourit à son image, fier de lui, las de tout. Cela ne se voyait pas encore que dans son crâne tout avait basculé. Il avait toujours la gueule d’un individu trop sûr de lui.
Il avait eu tout ce qu’on pouvait envier à un homme : une belle carrière, une femme riche et élégante, l’intelligence, des conquêtes à n’en plus finir, des amis, une famille aimante... il avait tout. Il était chirurgien, un métier qui associait à la perfection l’estime des autres, l’argent et sa passion pour le corps. Il avait parfois l’impression d’être un dieu, et d’autres fois, le plus souvent, il se sentait comme un boucher. Ça dépendait de son humeur. Il jeta un coup d’œil dans le miroir à Emma, elle faisait des valises.
« Tu fais quoi ? demanda-t-il exaspéré.
– Ta valise, je prends quoi ?
– Comme d’habitude, le nécessaire, et puis ne mets pas trois tonnes de pulls. Tu sais qu’il fait toujours trop chaud.
– On va en Chine ! Tu pourrais être un peu plus original, non ? »
Cette remarque l’agaça, le jeu ne lui plaisait plus, plus du tout.
« Tu ne vas pas travailler ? lui demanda-t-il.
– Non », répondit-elle sèchement.
Il souffla, exaspéré : la conversation d’hier lui revenait en mémoire. Encore une fois, Emma n’avait rien écouté. Elle n’en faisait qu’à sa tête mais cette fois-ci, c’était impardonnable.
« Mets ce que tu veux, dit-il en sortant de la chambre. »
Avec un peu de fatigue, et peut-être de cruauté, il ajouta :
« N’oublie pas de prendre un beau costume pour le final ! »
Dans son dos, il sentit les mains d’Emma glisser sur le tissu. Il ferma la porte de la chambre. Il s’assit dans le salon. Il avait été méchant. Une vague de dégoût lui monta à la gorge. D’où lui venait cette colère ? Ce n’était pas contre Emma. Elle pouvait bien rêver à la Chine si elle voulait. Au sol, il trainait encore la tasse du café renversé. Il la ramassa et la posa devant lui. Á l’intérieur, un lac de boue sur lequel nageaient des cygnes rouges. Un des cygnes s’envola pour se poser au-dessus de ses lèvres. Il saigna du nez. Il prit une serviette et s’épongea la narine. Hier, il avait pourtant tout expliqué à Emma. Ce n’était pas n’importe quelle décision, bordel !
Il avait tout programmé. Il lui avait dit tout ce qu’il voulait faire et comment il voulait le faire. Pourquoi le faisait-elle chier avec la Chine ? Il regarda les radios et les scanners étalés sur la table. Il connaissait trop bien leur traduction, la maquette d’une boucherie. Pire : le programme de l’abattoir. Emma entra dans la pièce, de grosses larmes tombaient sur ses joues. Elle ne prenait pas la peine de les sécher. Elle n’avait même pas la pudeur de retenir ses larmes.
« Tu es dégueulasse ! cria-t-elle.
– Je sais. Tu n’avais qu’à partir au travail, au lieu de me parler de Chine !
– Et pourquoi pas ? Pourquoi on ne partirait pas ? Pourquoi est-ce qu’on devrait suivre ton programme à la con... »
Il se prit le crâne à pleines mains. Une douleur sévère accaparait de son cerveau. Très vite, elle devint insupportable. Emma le regarda, sans inquiétude. Elle alla chercher les cachets et un verre d’eau, déjà habituée. Une fois la douleur apaisée, il revint à la conversation, encore étourdi. Emma lui dit :
« Tu pourrais mourir là-bas, plutôt qu’ici, ça change quoi ?
– Oui, je pourrais, dit-il faiblement, sentant encore les effets de sa crise. Je pourrais mais je n’ai pas envie. J’ai envie que les gens puissent me dire au revoir... tu peux comprendre...
– Tu n’en as jamais rien eu à foutre des autres ! » répondit-elle énervée.
C’était vrai. Peut-être avait-il changé. Il regarda sur le scanner l’énorme tache blanche qui poussait dans son crâne. Elle lui sembla lumineuse au milieu des méandres gris de la radio, il sourit. Les drogues faisaient lentement leurs effets. La tache de lumière s’envola de l’image et traversa la pièce. Il la suivit du regard, puis se leva. Elle partait vers le balcon, il ouvrit la porte-fenêtre. Emma parlait encore, pleurait même, lui hurlait de l’écouter mais il ne l’écoutait plus. La lumière s’étendit sur tout le paysage et en fit une ville comme dans son rêve. Une ville où s’alignaient des arbres blancs à l’ombre étalée, des bâtiments toujours semblables. Et puis, une grande avenue avec un horizon immense, une lumière froide et blanche. Il contempla le paysage.
« Emma, tu vois ça ? lui dit-il hypnotisé. Tu as vu ce qui arrive à la ville ? Elle se transforme, regarde.
– C’est une hallucination, lui dit-elle en avalant un sanglot.
– Ah, d’accord », consentit-il simplement.
Habitué à ces symptômes aussi. Il regarda Emma pour reprendre la conversation et lui expliquer qu’il n’en avait pas « rien à faire des autres ». Il préférait mourir à l’hôpital qu’ailleurs parce que c’était plus simple pour elle et pour sa famille de gérer ses derniers mois là-bas. Et puis l’hôpital, il y avait passé tant de temps, c’était plus chez lui qu’ici. Il était prêt à répéter tout ce qu’il avait dit la veille mais Emma pleurait. Elle lui pardonnait tout, elle cédait à tout. Tout pour qu’il reste en vie, tout. C’est ce que son regard hurlait alors il resta muet. Il désira un instant que son cauchemar se réalise et que les autres ne s’aperçoivent pas de sa disparition. Il ferma les yeux et laissa la ville derrière sa tête étaler sa lumière blanche et transformer son visage en une ombre chinoise.

Maintenant la critique
"Vous avez fait de ce court récit la lutte de la vie contre la mort annoncée. Vous abordez le douloureux problème de la phase finale d'une maladie d'autant plus cruciale que le patient atteint est un chirurgien, donc très lucide sur le plan médical quant à ses symptômes !... La maladie n'épargne personne.
Plus qu'un court récit, c'est un cri que vous lancez au lecteur, c'est un déchirement de fin d'excistence. Derrière ce flash, on devine la vie tumultueuse du couple, les drames en amont et en aval.
Par une écriture fluide, agréable, vous invitez le lecteur à partager les réflexions des deux personnages qui sont bien campés. Les dialogues parfois cruels cachent énormément de souffrances entre ces deux êtres âgés dont l'amour s'est transformé en tendresse avec le temps et dans cette situation où l'un comme l'autre connait le dénouement tragique."

Vous remarquez que tout cela m'est adressé. C'est écrit pour moi, un petit résumé de ce que j'ai écris enrobé de pathos et de flatterie, j'adore! Mais attendez ce n'est pas fini, on frise l'exercice de style, en bleu c'est moi , en noir les correcteurs (même les parenthèses noires) :

"Les personnages :
Lui/IL : Comblé en charme et même en beauté en métier, en fortune bien gagnée (la paraphrase a du bon tout de même)en conquêtes amoureuses mais avec attachement à son épouse de quinze ans son ainée, presque une mère ! qu'il aprécie encore dans les ébats amoureux comme dans les soins qu'elle lui prodigue après ses hallucinations lorsqu'ils retrouve sur la table les radios et les scanners.
Face à la maladie il recherche tant^t la dérision; tantôt l'envie de se supprimer : il voudrait élaborer un plan pour une situation finale (reflexion du médecin) mais en a-t-il vraiment la force, le courage? IL n'est qu'un être humain avec toute sa complexité ( L'aspect suicidaire de mon personnage m'échappe, mais chers correcteur, ce n'est pas un être humain! enfin ceci n'est pas une pipe!) Cet homme qui a sauvé des vies au bloc opératoire, qui a réconforté des patients, les as encouragés à surmonter des situations pénibles ( Ah, oui? Il a fait ça, pour moi c'était un gros con qui ouvrait des ventres mais bon... si vous le dîtes...), LUI qui parfois se prenait pour Dieu, se montre impuissant face à son propre cas ; et se retrouve possédé diaboliquement (Adverbe surinterprétatif, le malin n'a rien à faire dans cette histoire) par un rêve obsédant où tour à tour l'homme est invisible puis visible se "confondant dans la lumière blanche de la ville" (On dit que des patients dans le coma ont vu cette lumière blanche)
 ELLE/EMMA : femme amoureuse, jalouse qui a certainement souffert des infidélités de son époux mais qui emportée par un amour plus fort à continuer à céder à  IL
Face à la situation douloureuse, elle feint de minimiser la réalité. Elle persévère dans son désir de visiter la CHINE, voyage initiatique pour conjurer une fin inévitable ; elle se prépare comme si c'était une routine. Egoisme ou necessité de s'étourdir ! elle passe par différentes phases de tiraillement : gentillesse (quand elle soigne son époux) angoisse, pleurs, agacement, dilemme entre dy statique avec un effondrement moral et activité-fuite pour un ultime voyage de loisir avant le dernier voyage avec son époux.
Les personnages se figent sur cette idée de voyage, et la fin du récit laisse le lecteur dans une profonde émotion car : recommence le rêve de cette ville à la lumière blanche et froide sur lauqelle s'évanouit le rêve de la Chine qui finit dans l'ombre.

Fin. C'était beau, on sent que les correcteurs se sont donnés du mal. On peut apprécier leur travail, en plus c'est pas mal écrit, je suis contente qu'après avoir lu mon texte on prenne le temps d'en dire quelque chose... Toutefois, on m'a reraconté mon histoire en la rendant pleurnicheuse et pathétique... je ne sais pas ce qui ne va pas, et d'ailleurs je ne sais pas vraiment ce qui va , j'ai de la paraphrase mais pas d'avis.

Alors pour tous les futurs participants, ne vous inquiétez pas toutes les critiques ne sont pas comme celle-ci, et vous remarquerez que même celle-ci est faite avec amour et bienveillance, bref foncez sur ce bon projet mais n'attendez pas trop non plus des critiques!
 


1 commentaire:

  1. Bonjour Zogo

    Sujet très intéressant,
    Comment rentrer en contacte?

    Au plaisir de vous lire.
    Cordialement.

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